Quatrième de couverture:
Depuis quelques temps, rein ne tourne plus rond dans la vie de Joséphine. D'abord, c'est son ex-mari, père de ses deux garçons, qui ne semble pas vraiment d'accord sur le sens à donner au mot "séparation". Ensuite, c'est l'inspiration qui lui fait faux bond, au moment même où son nouvel éditeur s'impatiente de lire son prochain livre pour enfants, peuplé comme toujours d'animaux malades. Et puis, ce matin-là, choisissant l'instant où son banquier l'appelle (pour lui parler de son découvert), c'est son lave-vaisselle qui lâche. Le début de la fin? Ou bien... le début d'une nouvelle vie?
Critique:
Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai loué ce livre, peut être à cause du nom de l'auteur. Je pense que je voulais voir ce qu'elle valait!
Le ton est acerbe, dépressif, du moins au début, je manque de refermer le livre tant cette Joséphine, héroïne du livre, m'énerve à pleurer sur sa petite vie, pleurer sur elle-même! Je persévère néanmoins, je n'aime pas lâcher un livre sans m'être battue pour le terminer; c'est une règle chez moi, je l'ai commencé, il faut que je le termine ou que j'aille le plus loin possible pour me dire que j'ai vraiment tout tenté!
Donc, je vais plus loin et m'aperçois que cette femme ne veut pas rester dans son gouffre, qu'elle oscille entre son état actuel et un renouveau d'elle-même qui lui fait peur; Sa famille n'est pas en reste, entre un père démissionnaire qui subit l'autoritarisme de sa femme, un frère volage mais présent et une mère autoritaire clairement plus attirée par le sexe masculin... il y a de quoi perdre les pédales!!
L'auteur aurait pu faire du roman un drame, elle a choisit d'en faire une comédie pas si légère mais qui fait réfléchir et fait passer le lecteur par une pléthore de sentiments!
A ne pas lire si vous êtes déprimé ou alors pour aller mieux!
7.5/10
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