mardi 4 novembre 2014

Enfin la vérité sur les contes de fées / Murielle Renault & Treize minutes / Nicolas Rey ou les deux versants d'une même histoire...


Quatrième de couverture:
Pour Marion, il y a le travail, les fêtes et les amis.Il y a aussi Antoine et Simon, ses deux candidats au titre de prince charmant. Mais Marion ne veut plus croire aux contes de fées, les princes charmants lui en ont trop fait baver...

Critique:
En lisant le début du roman, je vois une note d'un autre auteur, il explique brièvement que le roman que je tiens entre les mains est la version féminine d'un roman qu'il a lui-même écrit dans le passé; cet auteur est Nicolas Rey et le roman dont il parle est "Treize minutes".
Je lis donc le roman de Murielle Renault, il est noir, tranchant, vrai mais j'ai le sentiment, tout au long de ma lecture qu'il me manque des éléments, et me voilà à refermer le livre après le point final en étant persuadée que je ne pourrai me faire un véritable avis sur celui-ci que quand j'aurais trouvé et lu "Treize minutes", je pars donc en recherche et reviens vers vous lorsque j'aurai comblé cette lacune...



Quatrième de couverture : Treize minutes, c'est le temps dont va bénéficier Simon pour rater sa vie au sein d'une chambre à l'accueillante obscurité. Auparavant, le jeune homme aura zappé son avenir professionnel, trinqué à l'horreur économique et navigué en plein mensonge jusqu'au dernier naufrage. Entre une amitié excessive, quelques déviances et lâchetés sans excuse, Simon, déjà fatigué de vieillir, regardera sa chute s'effectuer comme d'autres jettent un oeil sur un film de série B.

Critique:
voilà, je l'ai enfin loué et lu ce pendant masculin. C'est intéressant de voir comment les versions féminine et masculine diffèrent l'une de l'autre, comment on peut voir que ben oui, les hommes et les femmes ne viennent pas de la même planète...
Ce n'est pas de la haute voltige littéraire, c'est même une histoire plutôt plate si on regarde bien mais elle fait passer le temps et donne à réfléchir sur le sens que l'on donne aux choses que l'on soit homme ou femme.

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